anne , ane ect ...

Par amtealty jourden
Le 26/07/2011
Dans des nouvelles tous les jours
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Mardi 26 juillet

lire et délires en tout genre

allez jusqu'au bout de l'article

rires et humour s'y sont invités

commençons par

sainte Anne

et son grand pardon

à Auray on fête la sainte avec faste

L’histoire de Sainte-Anne d'Auray

est très lié à la religion chrétienne.

Sainte-Anne-d’Auray (ou Keranna en breton) est le principal lieu de pèlerinage de la Bretagne. On y vient depuis 1625, pour commémorer l'apparition de Sainte Anne, grand-mère maternelle de Jésus-christ, à Yves Nicolazic. Tous les étés, le 26 juillet, un pèlerinage y a lieu : le pardon de Sainte Anne.

On compte une moyenne de 800 000 pèlerins par an à Sainte-Anne-d'Auray.

Jean-Paul II y est venu en pèlerinage le 20 septembre 1996 où il a rassemblé 150 000 personnes, première visite d'un pape en Bretagne.

Sainte-Anne-d'Auray a longtemps fait partie de la paroisse et commune de Pluneret. La paroisse de Sainte-Anne d'Auray est née le 1^er août 1937. Elle a été fondée en regroupant le domaine du sanctuaire, l'ancien Keranna et plusieurs villages à la paroisse de Pluneret. D'autres villages ont été pris à la paroisse de Plumergat.

Ce n'est que le 26 février 1950 que Sainte-Anne-d'Auray a également été érigée en commune.

Pour conclure

je voudrais encore aujourd'hui prier :

ici vous trouverez

une nouvelle sainte bretonne !!!

Prière à la sainte bière"

Notre bière qui êtes au frais
Que notre demi soit versé
Que notre volonté soit faite
Au bar comme au comptoir
Pardonnez-nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons
A ceux qui boivent du Coca
Soumets-nous au demi pression
Et délivre-nous de la soif

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je crois que cette nouvelle sainte

s'appelle Coreff

après avoir prier pour cette sainte

remettons nos âmes au Saint Père

Notre Père qui êtes aux cieux,
Que la boisson soit bien fermentée,
Que la bière ne soit pas légère,
Que les bars restent ouverts toute la nuit,
Que notre volonté soit faite à l'hôtel comme au bordel!
Donne-nous aujourd'hui une bouteille de rhum, une caisse de bière et un baril d'alcool,
Pardonne-nous nos trainées de "vomissures" comme nous pardonnons à ceux qui nous les font ramasser,
Ne nous soumet pas aux tests d'ivressomètre, aux tests d'urine, aux barrages routiers et à notre partenaire enragé,
Mais délivre-nous des nausées,
Car c'est à toi appartient le pouvoir de remplir notre verre, tout en nous donnant la force de le lever et de le vider,
Donne-nous aussi plus de jours de congé, tout en étant payé car parfois la pente est dure à remonter.
Amen!

Après avoir prié nous aurons une pensée

pour Robinson et son petit âne

http://ouvrez-les-guillemets.over-blog.fr/

qui nous disait ceci:

Viens, Petit Âne, viens !

Prenons le chemin ,

quittons la campagne.

Petit Âne:

Partons vers la Bretagne!

Oublions,

les préoccupations,

les occupations,

les obligations.

Allons revoir la Normandie,

régler quelques conflits.

Puis vers la Bretagne

voir sœur Anne!

Oublions le jardin !

et ses travaux sans fin !

Et on verra bien...

le mois prochain !!!

signé Robinson

j'ai hardiment volé

le texte de Robinson

pour que l'on se souvienne de lui

j'espère que de là où il est

il ne sera pas fâché après moi

la photo n'est pas celle du blog de Robinson

juste une de mon ami google

et maintenant

voici un petit intermède humoristique

afin de pouvoir passer une journée gaie

et remplie de rires

Blagues :

Âne et ânesse

Comment reconnaît-on une ânesse en chaleur?
Tu sais pas ? Bahh...t'es plus con qu'un âne, parce qu'un âne le sait !

Âne et corse

Un éleveur d'ânes corse s'apprête à prendre sa retraite (il a 45 ans) et à transmettre l'affaire familiale à son fils de 20 ans. Il lui montre l'entreprise et lui raconte l'histoire familiale :

- Tu vois ça, c'est la première invention de ton arrière grand père, une machine qui permettait d'abattre les ânes sans se fatiguer. On faisait entrer l'âne d'un coté et de l'autre on récupérait la viande pour fabriquer le saucisson.

Ensuite voici la même machine améliorée par ton grand père, une fois l'âne entré, la machine préparait la viande et la mettait directement en forme de saucisson. Il n'y avait plus qu'à les faire sécher.

Et moi j'ai encore amélioré cette machine, maintenant on entre l'âne d'un coté et le saucisson ressort de l'autre coté, préparé, sec et prêt à vendre.

Le fils demande alors :
- Et une machine où on entre le saucisson et il ressort un âne, elle n'existe pas ?

Le père :
- Si, ta mère !