le jeudi je récapitule.............
- Par amtealty jourden
- Le 31/03/2011
- Dans des nouvelles tous les jours
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Jeudi et je me dis tiens
je vois et je m'en excuse
que je ne vous ai pas donné de nouvelles
et pourtant j'ai écrit
mais j'ai oublié de le mettre sur le blog
sur les pages du site oui
mais sur le blog non
désolée
les voici par ordre d'écriture
le journalon:
Gontran de la semaine 13
commence
la semaine du mois qui va finir
et oui encore 3 jours et mars sera fini
Gontran sera donc
le rédacteur en chef du « journalon »
un « journalon » contrairement
au petit écho qui se veut d'être court
est un journal long
avec des articles à ne plus en finir
des mots les plus longs possible
un vrai casse tête
et pourtant ce n'est pas Lajemy
qui nous le demande
c'est FF de l'arbre à mots
donc voici le « journalon » de Gontran
les rubriques que vous pouvez trouver
dans un journalon
sont à n'en pas douter assez compliquées
je dirais même sans raison
mais aller jusqu'à dire que le journalon
est un journal digne d'un con
je n'oserais point
en voici un petit aperçu
que vont devenir les amaryllidacées?
le télémécanicien
d'une infaillibilité inter-américaine décapitalisera et démilitarisera
les amaryllidacées
de la zone déminéralisée et dénaturalisée
suite à l'attaque hippopotamesque
d'un otorhino-laryngologue sauvage
Les crocodilidés (Crocodylidae) sont des reptiles aquatiques de l'ordre des crocodiliens .
Leur nom vernaculaire contient le terme crocodile et pour certains d'entre eux faux gavial. Ils constituent la famille des Crocodylidae
et vivent en groupe dans les rivières bretonnes . Ils tendent à vivre dans des rivières lentes
et ils se nourrissent d'une large variété d'herbe folle qu'ils font frire dans une poêle avec du beurre salé .
Certains d'entre eux, en particulier
le crocodile Basile d'Amtealty
crocodile d'eau au beurre salé
s'aventurent parfois assez loin en mer...
la page de pub
elle est belle la nuit de ce monsieur désormais
SUITE DANS LE PROCHAIN JOURNALON
je continue
avec le prénom de la cour de récré
Anastasie
Anastasie anesthésie
tout ce qui bouge devant elle.
Elle va même jusqu'à l'euthanasie,
tellement elle est cruelle.
Se moquant de votre allergie,
elle pique, pique, la belle,
vous procurant une anémie.
Puis une p'tite piqure superficielle,
et vlan vous voilà endormie.
Anastasie effectue sa danse africaine,
pour mieux vous inoculer la trypanosome humaine.
Elle adore vous voir endormie,
la belle Anastasie.
Comment va t-on l'accepter
à la cour de récré, la mouche tsétsé?
Épinglée et naturalisée!!!
Ah! Oui ! Ça c'est une bonne idée …
Amtealty Bougnen
et aujourd'hui
le jeudi en poésie
en ce jeudi de poésie
une légende de mer était souhaitée
en bonne bretonne que je suis
je ne pouvais aller chercher ailleurs que dans ma région cette légende
les naufragés de Gueltraz
(ile saint Gildas)
____En face de Port-Blanc, sur la côte trégorroise, est un îlot fait de quelques masses de rochers et planté d'un bois de pin. On l'appelle Gueltraz. Il est habité par un fermier et sa famille qui vivent plus encore du goëmon qu'ils ramassent que des pommes de terre qu'ils récoltent.
____Leur meilleure aubaine, ce sont les épaves que la mer rejette quelquefois, car ces parages sont hérissés d'écueils.
Un matin, après une nuit de tempête, ils trouvèrent d'énormes madriers que les vagues avaient roulés sur le galet. Ils les eussent volontiers traînés jusqu'à la ferme mais leurs forces réunies n'auraient pas suffi à les remuer. Ils durent se contenter de faire bonne garde autour des pièces de bois ; ils avaient à craindre que la marée suivante ne les emportât.
____Ils restèrent là tout l'après-midi. La nuit tomba qu'ils y étaient encore. Pour se réchauffer, ils avaient allumé un grand feu sur la plage.
Tout à coup, ils sentirent passer sur eux un souffle glacial et leur feu s'éteignit brusquement.
____En même temps, dans l'ombre, ils virent venir à eux cinq matelots qui semblaient sortir de la mer, car leurs cirés étaient ruisselants. Chacun de ces matelots marchait courbé sous un faix de planches, de vieilles planches à demi pourries, qui dégouttaient pareillement et tous les cinq disaient en choeur d'une voix sépulcrale :
____- Il nous en manque !... Il nous en manque !...
Le fermier et ses gens prirent peur. Toutefois, son fils aîné qui avait navigué à l'Etat s'enhardit à demander :
____- Qu'est-ce qui vous manque, les garçons ?
____Mais il n'eut pas plutôt parlé qu'il tomba à la renverse, sans que personne l'eût touché, et des coups invisibles se mirent à pleuvoir dru comme grêle sur lui et sur ses compagnons. Ils se jetèrent tous la face contre terre en hurlant de douleur et d'épouvante... Ce n'est que longtemps après que les coups eurent cessé qu'ils se hasardèrent à se relever pour s'enfuir. Ils vinrent alors que la mer battait son plein et que les madriers flottaient déjà à quelque distance du rivage.
Quant aux cinq matelots, ils avaient disparu.
____Mais on entendait leurs voix qui chantaient en s'éloignant. Ce qu'ils chantaient et en quelle langue, on n'aurait su le dire, quoique le fils aîné du fermier prétendit que c'était de l'espagnol.
voili voilou pour les écrits
sinon que vous dire qu'il pleut
ou qu'il pleuvine en Bretagne
c'est selon
que vous êtes vacanciers
ou breton pur race (lol)
bonne journée et merci de vos visites
cela fait maintenant deux ans
que ce site excite
je viens de me rendre compte
de ce que je viens d'écrire Ha! Ha!
Je voulais dire existe
le compteur annonce :
135 394
que du bonheur
pour la grand mère que je suis!!!
bisous à tous et toutes
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