les ça me dit de squiffiec

bonjour, hello,salud,

le ciel est gris

 il ne fait pas beau

 et l'horoscope est:

Scorpion - 1 Août 2009


A peine levé(e), vous retourneriez bien au lit! Vous avez envie de retarder toutes les corvées de la journée mais c'est sans compter sur l'autorité de votre conjoint!

c'est vrai l'envie de retourner au lit   car je suis fatiguée

je vous donne celui des verseau

Verseau - 1 Août 2009


Vous aimeriez passer une journée tranquille dans votre home sweet home

mais il semblerait que votre famille en ait décidé autrement.

Attendez-vous à les voir débarquer!

 sinon aujourdhui c'est la saint ALPHONSE

Alphonse Marie Antoine Jean Côme Damien Michel Gaspard de Liguori naquit au manoir de son père, à Marianella, quartier de Naples, le mardi 27 septembre 1696 et mourut à Nocera de Pagani, le 1er août 1787. Il embrassa l'état ecclésiastique à 27 ans et évangélisa les pauvres des campagnes. issu de la haute société napolitaine, orateur doué, il prêchait néanmoins toujours sans artifice oratoire de façon à être compris de tous notamment des moins instruits. Il fonda la congrégation du Très Saint Rédempteur, dont les membres sont appelés Rédemptoristes. Fête le 1er août.

les ALPHONSES CONNUS

Alphonse ALIMI : Boxe

Alphonse ALLAIS : écrivain français (1855-1905)

Alphonse BERTILLON : Criminologue

Alphonse BOUDARD : écrivain de "La métamorphose des cloportes" (1925 - 2000)

Alphonse DAUDET : écrivain français (1840-1897)

Alphonse DE FRANCE : comte de Poitiers et de Toulouse (13e siècle)

Alphonse DE LAMARTINE : poète, écrivain et homme politique (1790-1869)

Alphonse JUIN : Maréchal et académicien français

Alphonse KAAR : humoriste (1808 - 1890)

ALPHONSE XIII : Roi d'Espagne

 JE VOUS LIVRE à domicile UNE POESIE D'ALPHONSE LAMARTINE

Hymne au soleil

Vous avez pris pitié de sa longue douleur !
Vous me rendez le jour, Dieu que l'amour implore !
Déjà mon front couvert d'une molle pâleur,
Des teintes de la vie à ses yeux se colore ;
Déjà dans tout mon être une douce chaleur
Circule avec mon sang, remonte dans mon coeur
Je renais pour aimer encore !

Mais la nature aussi se réveille en ce jour !
Au doux soleil de mai nous la voyons renaître ;
Les oiseaux de Vénus autour de ma fenêtre
Du plus chéri des mois proclament le retour !
Guidez mes premiers pas dans nos vertes campagnes !
Conduis-moi, chère Elvire, et soutiens ton amant :
Je veux voir le soleil s'élever lentement,
Précipiter son char du haut de nos montagnes,
Jusqu'à l'heure où dans l'onde il ira s'engloutir,
Et cédera les airs au nocturne zéphyr !
Viens ! Que crains-tu pour moi ? Le ciel est sans nuage !
Ce plus beau de nos jours passera sans orage ;
Et c'est l'heure où déjà sur les gazons en fleurs
Dorment près des troupeaux les paisibles pasteurs !

Dieu ! que les airs sont doux ! Que la lumière est pure !
Tu règnes en vainqueur sur toute la nature,
Ô soleil ! et des cieux, où ton char est porté,
Tu lui verses la vie et la fécondité !
Le jour où, séparant la nuit de la lumière,
L'éternel te lança dans ta vaste carrière,
L'univers tout entier te reconnut pour roi !
Et l'homme, en t'adorant, s'inclina devant toi !
De ce jour, poursuivant ta carrière enflammée,
Tu décris sans repos ta route accoutumée ;
L'éclat de tes rayons ne s'est point affaibli,
Et sous la main des temps ton front n'a point pâli !

Quand la voix du matin vient réveiller l'aurore,
L'Indien, prosterné, te bénit et t'adore !
Et moi, quand le midi de ses feux bienfaisants
Ranime par degrés mes membres languissants,
Il me semble qu'un Dieu, dans tes rayons de flamme,
En échauffant mon sein, pénètre dans mon âme !
Et je sens de ses fers mon esprit détaché,
Comme si du Très-Haut le bras m'avait touché !
Mais ton sublime auteur défend-il de le croire ?
N'es-tu point, ô soleil ! un rayon de sa gloire ?
Quand tu vas mesurant l'immensité des cieux,
Ô soleil ! n'es-tu point un regard de ses yeux ?

Ah ! si j'ai quelquefois, aux jours de l'infortune,
Blasphémé du soleil la lumière importune ;
Si j'ai maudit les dons que j'ai reçus de toi,
Dieu, qui lis dans les coeurs, ô Dieu ! pardonne-moi !
Je n'avais pas goûté la volupté suprême
De revoir la nature auprès de ce que j'aime,
De sentir dans mon coeur, aux rayons d'un beau jour,
Redescendre à la fois et la vie et l'amour !
Insensé ! j'ignorais tout le prix de la vie !
Mais ce jour me l'apprend, et je te glorifie !

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