remidebout et biquette
- Par amtealty jourden
- Le 14/09/2009
- Dans des nouvelles tous les jours
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Salut
Alors Rémidebout comment tu vas ?
Moi ça va et toi biquette ?
Ça va j'ai passé un super dimanche
J'ai baguenaudé dans la campagne Squiffiécoise à la recherche d'un Casimir
vu que grand-mère a mis une recette
qui à l'air bien bonne ma foi
Dis donc toi.
tu veux me rendre chèvre ou quoi?
Tu ne vas quand même pas manger Casimir
Ha! Ha ! Ha!
Je t'ai bien eu
C'était ma blague du jour
je l'aime trop notre Casimir pour le manger
Grand-mère et Tad Coz ont été voir la chorale
C'était à la chapelle de Kerprovost
à Plouec du Trieux
ils pensaient y voir Émile et point d'Émile
la chorale est très belle
un joli mélange de chants
jolie chapelle aussi et très chaleureux accueil
un après midi sympa
les filles parisiennes ont très bien couru
Corinne a parcouru ses 6 km en 34 minutes 01
et se classe 1219 sur 14 849
et son équipe finit 114 ième
Sophie qui pour être solidaire de son équipe
a parcouru le premier kilomètre
à allure escargot
a quand même réussi un bon temps :
45 minutes 07
elle finit 10 765 sur 14 849 concurrentes
son équipe finit 214 ième sur 240
Corinne pense déjà au Versailles Paris
mais là c'est 16km de course
ça va être autre chose
Papa Tad Coz, il bichait ce soir
il est fier de vous les filles
à part ça aujourd'hui
c'est la Sainte Croix Glorieuse
Oh ! Là ! Là !
Ils nous inventent n'importe quoi maintenant
dis donc Biquette tu te renseignes
et on raconte
car ça semble bizarre cette histoire
Chacun se souvient comment la vraie croix avait été retrouvée par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin[1] (voir au 18 août). En 335, l'empereur Constantin, invite pour le trentième anniversaire de son avènement, les Pères réunis à Tyr à la dédicace des deux basiliques[2] qui doit avoir lieu le 13 septembre à Jérusalem.
Le lendemain de la dédicace, le dimanche 14 septembre, l'évêque de Jérusalem montre pour la première fois à la foule le bois sacré de la Croix (l'hyposis) et, sur ordre de Constantin, les Pères décrètent la célébration annuelle de la dédicace et de l'exaltation, au 14 septembre. Un morceau de la Croix étant apporté à Constantinople, on y célèbre la même fête avec l'hyposis. Cette fête est répandue dans tout l'Orient dès le VII° siècle, et on la trouve à Rome au plus tard au temps du pape Serge I° (687-701) à la notice duquel, dans le Liber pontificalis, on trouve la mention suivante : En la sacristie du bienheureux apôtre Pierre, se trouve un reliquaire où est renfermée un précieuse et considérable portion du bois salutaire de la croix du Sauveur ... Au jour de l'Exaltation de la sainte croix, le peuple chrétien baise et adore cette relique dans la basilique constantinienne du Saint-Sauveur[3].
Il est aujourd’hui de bon ton, pour prétendre être pris au sérieux, d'afficher un souverain mépris pour les reliques en général et pour celles de la vraie Croix en particulier. La perfide doctrine des anciens réformés, pilleurs de sacristies et ravageurs d'œuvres d'art, est devenue celle des catholiques à la mode : « on ne saurait adorer les os d'un martyr qu'on ne soit en danger d'adorer les os de quelque brigand ou larron, ou bien d'un âne, ou d'un chien, ou d'un cheval.[4] » Ainsi, depuis que certains catholiques se sont persuadés qu'ils sont les héritiers des Lumières, on enlève les reliquaires de la vénération des fidèles pour les séquestrer dans la crasse des arrières-sacristies quand on ne les a pas vendus à d’avides antiquaires.
Pour faire taire les résistants, la propagande iconoclaste se réclame de l’esprit de Vatican II dont la lettre, pourtant, dans la Constitution sur le sainte Liturgie recommande que l’on vénère les reliques authentiques des saints (n° 111), et que le droit de 1983, application directe de Vatican II, interdit absolument de vendre les saintes reliques ou de les aliéner en aucune manière, voire de les transférer définitivement (canon 1190). Dans le Catéchisme de l’Eglise catholique (1992), l’index thématique de l’édition française a beau avoir oublié le mot, on trouve cependant la chose dans le texte qui présente la vénération des reliques comme une des expressions variées de la piété des fidèles dont la catéchèse doit tenir compte (n° 1674). D’aucuns, à la vantardise plus savante, font remarquer doctement que le culte des reliques est inconnu dans l’antiquité chrétienne ; ils mentent effrontément puisque les actes du martyre de saint Polycarpe, en 156, en font une attestation certaine : « prenant les ossements plus précieux que les gemmes de grand prix et plus épurés que l’or, nous les avons déposés dans un lieu convenable. Là même, autant que possible, réunis dans l’allégresse et la joie, le Seigneur nous donnera de célébrer l’anniversaire de son martyre en mémoire de ceux qui sont déjà sorti du combat, et pour exercer et préparer ceux qui attendent le martyre. » On se souvient aussi, en 177, d’une lettre où l’Eglise de Lyon regrettait de n’avoir pu conserver les restes de ses martyrs[5].
La tradition, comme nous l’avons dit plus haut, rapporte généralement que l’on doit à l’impératrice Hélène la découverte[6] de la Vraie Croix. La mère de Constantin, suivit son fils à Constantinople où elle souffrit durement des excès de l’Empereur qui avait fait assassiner sa seconde femme pour avoir fait exécuter Crispus, fils d'un premier lit. En expiation, Hélène qui venait de fêter son soixante-dix-huitième anniversaire, s'en alla en pèlerinage à Jérusalem.
Il convient de rappeler que l'empereur Adrien (76-138), après avoir détruit Jérusalem et chassé les Juifs de leur pays (136), rebaptisa la ville Aelia Capitolina et la fit reconstruire en y enlevant jusqu'au souvenir judéo-chrétien ; sur le Golgotha, lieu du Calvaire, fut élevé un temple à Vénus. Sainte Hélène ne trouva que décombres et ruines païennes dans la Ville Sainte.
« Elle apprit, par révélation, que la croix avait été enfouie dans un des caveaux du sépulcre de Notre Seigneur, et les anciens de la ville, qu'elle consulta avec grand soin, lui marquèrent le lieu où ils croyaient, selon la tradition de leurs pères, qu'était ce précieux monument ; elle fit creuser en ce lieu avec tant d'ardeur et de diligence, qu'elle découvrit enfin ce trésor que la divine Providence avait caché dans les entrailles de la terre durant tout le temps des persécutions, afin qu'il ne fût point brûlé par les idolâtres, et que le monde, étant devenu chrétien, lui pût rendre ses adorations. Dieu récompensa cette sainte impératrice beaucoup plus qu'elle n'eût osé l'espérer : car, outre la Croix, elle trouva encore les autres instruments de la Passion, à savoir : les clous dont Notre Seigneur avait été attaché, et le titre qui avait été mis au-dessus de sa tête. Cependant, une chose la mit extrêmement en peine : les croix des deux larrons, crucifiés avec Lui, étaient aussi avec la sienne, et l'Impératrice n'avait aucune marque pour distinguer l'une des autres. Mais saint Macaire, alors évêque de Jérusalem, qui l'assistait dans cette action, leva bientôt cette nouvelle difficulté. Ayant fait mettre tout le monde en prière, et demandé à Dieu qu'il lui plût de découvrir à son Eglise quel était le véritable instrument de sa Rédemption, il le reconnut par le miracle suivant : une femme, prête à mourir, ayant été amenée sur le lieu, on lui fit toucher inutilement les deux croix des larrons ; mais dès qu'elle approcha de celle du Sauveur du monde, elle se sentit entièrement guérie, quoique son mal eût résisté jusqu'alors à tous les remèdes humains et qu'elle fût entièrement désespérée des médecins. Le même jour,saint Macaire rencontra un mort qu'une grande foule accompagnait au cimetière. Il fit arrêter ceux qui le portaient et toucha inutilement le cadavre avec deux des croix ; aussitôt qu'on eut approché celle du Sauveur, le mort ressuscita. Sainte Hélène, ravie d'avoir trouvé le trésor qu'elle avait tant désiré, remercia Dieu d'une grande ferveur, et fit bâtir au même lieu une église magnifique ; elle y laissa une bonne partie de la Croix, qu'elle fit richement orner ; une autre partie fut donnée à Constantinople ; enfin le reste fut envoyé à Rome, pour l'église que Constantin et sa mère avaient fondée dans le palais Sessorien (demeure de l'Impératrice) près du Latran qui a toujours depuis le nom de Sainte-Croix-de-Jérusalem. »
Certes, Eusèbe de Césarée (263-339), dans La Vie de Constantin le Grand, parle bien de l'édification de la basilique, mais ne souffle mot de la découverte de la vraie Croix ; de surcroît, transcrivant le discours de la dédicace de la Basilique, il ne parle pas de l'évènement mais seulement du signe sauveur. Voilà qui suffit aux iconoclastes pour dire que la tradition est une vaste blague. Avant de courir à une telle conclusion, il serait prudent de s'aviser que ledit Eusèbe de Césarée rejetait tout culte des images du Christ « afin que, écrit-il à Constancia, nous ne portions pas, à la manière des païens, notre Dieu dans une image. » Ajoutons, comme l'a si bien démontré Paschali, que la Vita Constantini n’est pas l'œuvre originale car sa révision interrompue par la mort d'Eusèbe, fut publiée à titre posthume avec des ajouts et des restrictions pour justifier la politique de Constantin II. De toutes façons, un silence d’Eusèbe de Césarée ne saurait constituer une preuve, et l’on doit considérer d'autres témoignages. Les archives mêmes d’Eusèbe, comme celles de Théodoret de Cyr (393-460) et celles de Socrate (380-439), conservent une lettre de Constantin au patriarche de Jérusalem : « La grâce de Notre Sauveur est si grande que la langue semble se refuser à dépeindre dignement le miracle qui vient de s'opérer ; car est-il rien de plus surprenant que de voir le monument de la Sainte Passion, resté si longtemps caché sous terre, se révélant tout à coup aux Chrétiens, lorsqu'ils sont délivrés de leur ennemi ? »
A part quelques détails secondaires, des auteurs dont l’enfance est contemporaine du voyage de l’Impératrice ou ceux de la génération qui suit, attestent de l'Invention de la Sainte Croix par sainte Hélène et de son culte ; ainsi peut-on se référer à saint Cyrille de Jérusalem (mort en 386), à saint Paulin de Nole (mort en 431), à saint Sulpice Sévère (mort en 420), à saint Ambroise de Milan (mort en 397), à saint Jean Chrysostome (mort en 407), à Rufin d’Aquilée (mort en 410), à Théodoret de Cyr ou à l'avocat de Constantinople, Socrate.
Déjà saint Cyrille, deuxième successeur de saint Macaire au siège de Jérusalem, mentionne que des parcelles de la Vraie Croix sont dispersées à travers le monde entier, ce qu’attestent par ailleurs deux inscriptions datées de 359 relevées en Algérie, l’une près de Sétif et l’autre au cap Matifou.
Si saint Ambroise de Milan décrit l'adoration de la Crux Realis par sainte Hélène, saint Jérôme raconte, dans une lettre à Eustochie, comment sa propre mère, sainte Paule, vénéra le bois sacré de la Croix à Jérusalem.
Saint Jean Chrysostome dit que les chrétiens accouraient pour vénérer le bois de la Croix et tâchaient d'en obtenir de minuscules parcelles qu'ils faisaient sertir dans des métaux précieux enrichis de pierreries.
Saint Paulin de Nole envoie une de ces parcelles à saint Sulpice Sévère en lui recommandant de les recevoir avec religion et de les garder « précieusement comme une protection pour la vie présente et comme un gage de salut éternel. »
Le 5 mai 614, les Perses s'emparèrent de Jérusalem, pillèrent les églises et envoyèrent ce qui restait de la Croix à leur empereur, Chosroës II[7]. Après plus de dix ans de malchance, Héraclius[8] battit les Perses et obligea le successeur de Kosroës à restituer la relique de la Croix qu'il rapporta en triomphe à Jérusalem. Héraclius entra dans la ville, pieds nus, portant la Croix sur ses épaules (21 mars 630). Le bois de la Croix séjourna quelques années à Sainte-Sophie de Constantinople puis retourna à Jérusalem. Le bois de la Croix a été partagé en trois grandes parts, elles-mêmes fractionnées, pour Jérusalem, Constantinople et Rome. Ce qui restait du morceau de Jérusalem fut caché pendant l'occupation musulmane et ne réapparut que lorsque la ville fut prise par les Croisés qui s'en servirent souvent comme étendard, de sorte qu'il fut pris par Saladin à la bataille d'Hiltin (1187) et ne fut rendu qu'après la prise de Damiette (1249) pour être partagé entre certains croisés dont Sigur de Norvège et Waldemar de Danemark.
Le 14 septembre 1241, le saint roi Louis IX alla solennellement au-devant des reliques de la Passion qu'il avait achetées à l'empereur de Constantinople : c'étaient un morceau de bois de la vraie Croix, le fer de la lance, une partie de l'éponge, un morceau du roseau et un lambeau du manteau de pourpre. Elles furent déposées à la Sainte-Chapelle en 1248.
Luther a dit qu'avec les reliques de la Vraie Croix on pourrait construire la charpente d'un immense bâtiment et Calvin affirma que cinquante hommes ne porteraient pas le bois de la Vraie Croix. L’avis des deux hérétiques fut admis comme une vérité révélée et chacun les répéta en souriant. Or, d'après le travail minutieux de M. Rouhault de Fleury, on peut supposer que la Croix du Seigneur représentait cent quatre-vingt millions de millimètres cubes. Si l'on met ensemble les parcelles que l'on conserve et celles qui ont été détruites mais dont on connaît la description, on totalise environ cinq millions de millimètres cubes. Rouhault de Fleury, généreux, multiplie les résultats de son enquête par trois pour ce qui pourrait être inconnu ; on est loin du compte !
Le 14 septembre 1241, le saint roi Louis IX alla solennellement au-devant des reliques de la Passion qu'il avait achetées à l'empereur de Constantinople : c'étaient un morceau de bois de la vraie Croix, le fer de la lance, une partie de l'éponge, un morceau du roseau et un lambeau du manteau de pourpre. Elles furent déposées à la Sainte-Chapelle en 1248.
Il existait, à Paris, une église Sainte-Croix de la Cité qui devint une paroisse, probablement vers 1107, lorsque furent dispersées le moniale de Saint-Eloi qui y avaient une chapelle dès le VII° siècle. Le curé tait à la nomination de l'abbé de Saint-Maur-des-Fossés. L'édifice qui s'élevait à l'emplacement de l'actuel Marché aux fleurs, avait été construit en 1450 et dédié en 1511, il fut détruit en 1797.
Dieu tout puissant qui avez souffert la mort à l'arbre patibulaire pour tous nos péchés, soyez avec moi.
Sainte-Croix de Jésus-Christ, ayez pitié de moi.
Sainte-Croix de Jésus-Christ soyez mon espoir.
Sainte-Croix de Jésus-Christ, repoussez de moi toute arme tranchante.
Sainte-Croix de Jésus-Christ, versez en moi tout bien,
Sainte-Croix de Jésus-Christ, détournez de moi tout mal.
Sainte-Croix de Jésus-Christ, faîtes que je parvienne au chemin du
Sainte- Croix de Jésus-Christ repoussez de moi toute atteinte de mort.
Sainte-Croix de Jésus Christ préservez moi des accidents corporels et temporels.
Que j'adore la Sainte Croix de Jésus-Christ a jamais.
Jésus de Nazareth crucifié, ayez pitié de moi.
Faites que l'esprit malin et nuisible fuie de moi. dans tous les siècles des siècles, amen.
En l'honneur du sang précieux de notre Seigneur Jésus-Christ, en l'honneur de son incamation, par où il peut nous conduire à la vie éternelle, aussi vrai que Notre Seigneur Jésus-Christ est né le jour de Noël et qu'il a été crucifié le vendredi saint.
Je ne sais pas si cela te vas
mais voilà ce que j'ai trouvé
si tu veux nous on dit que
c'est la saint Rémidebout
et puis aussi celle de Biquette
patron et patronne des chèvres
ouais. ta raison on dit ça
donc c'est notre fête
tu crois qu'il va faire beau aujourd'hui
je n'en sais rien
mais si tu veux
je peux te donner la température
du 14 septembre de l'année dernière
tu sais ça toi ?
Moi non!
mais Tad Coz il a marqué dans son carnet
et je sais où il a planqué son carnet
alors
si tu veux on le dit:
le 14 septembre 2008 il a fait:
9 degré 8 et la température était montée à 23 degrés 7
tu sais aussi pour d'autres années
ah !oui tu veux quoi?
2007: de 11,8 à 25
2006:de 15,4 à 18,2
et en plus il y avait eu 21 mm de pluie
2005 : de 14 à 27,6
2004: de 11,6 à 22,6
il y avait 4 mm de pluie
allez on arrête
tu vois on sait tout avec Tad Coz
maintenant tu veux quoi?
l'horoscope
va pour l'horoscope chinois du 14 septembre rat:
Lundi 14 septembre 2009
Amour
Célibataires, c'est dans votre milieu professionnel que vous aurez aujourd'hui le plus de chance de faire une rencontre significative. Vos désirs amoureux les plus fous seront exaucés. Sensuel en diable, vous userez et abuserez de votre pouvoir de séduction sans en être pleinement conscient. Si vous vivez en couple, quelques soucis matériels risquent de provoquer des discussions animées avec votre conjoint ou partenaire.
Argent
Sur le plan pécuniaire, vous avez pu sentir une certaine stagnation. Vous aurez maintenant envie de faire bouger les choses malgré les obstacles et l'inertie environnante. Il vous faudra faire preuve de ténacité. Attitude qui sera payante, car vous trouverez des appuis qui vous permettront d'atteindre votre but.
Santé
Débordant d'énergie, vous n'hésiterez pas à mener de front plusieurs activités. La fatigue ne vous atteindra pas. Cependant, il serait plus sage de ne pas vous éparpiller et de concentrer votre attention sur votre travail.
Travail
Des inimitiés pourraient se déclarer avec des collègues de travail. Pour éviter cela, il conviendra de réagir avec sang-froid et de ne pas faire de sentiments. N'oubliez jamais le facteur temps, ne négligez pas les choses de moindre importance si vous voulez être bien compris et garder une bonne réputation dans votre milieu professionnel.
Famille/Foyer
Dans le domaine familial, vous bénéficierez de la bonne position de la planète Kiep Sat, qui vous assurera une vie paisible, sécurisante, bien ordonnée, axée sur le foyer, les enfants, la maison. Vous ferez tout ce qu'il faudra pour que ceux que vous aimez soient confortablement installés, qu'ils vivent le mieux possible dans le meilleur des cadres.
Vie sociale
Tout au long de cette journée, votre vie sociale aura tendance à être débordante. Vous risquez de trop vous engager et d'avoir à perdre beaucoup de votre temps et aussi de votre liberté. Ne gaspillez pas votre énergie à vous occuper des causes qui ne vous passionnent pas vraiment.
Nombre de chance
407
Clin d'oeil
Étudiez bien les suggestions qu'on vous fait ; elles peuvent se révéler riches en idées utiles pour vous.
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Et maintenant un dicton du jour:
si tu ne veux pas marcher à coté de tes pompes
ôtes les et portes les à la main
ça c'est un dicton à la con
je préfère les vrais dictons :
De Sainte Croix à Saint Michel, la pluie va dévaler du ciel.
Et là t'as pas mieux comme dicton
car celui là c'est pas terrible
14 Septembre : St Materne
Mois de septembre pluvieux, an fructueux
A la Sainte-Croix, cueille tes pommes,
et gaule tes noix
je vous note saint materne :
Saint Materne
Vagues-à-l'âme d'un ami des vraies racines de la Belgique Chrétienne
"Ô étrange Église Orthodoxe, si pauvre et si faible, qui se maintient comme par miracle à travers tant de vicissitudes et de luttes. Église de contrastes, à la fois si traditionnelle et si libre, si archaïque et si vivante, si ritualiste et si personnellement mystique.
Église où la perle de grand prix de l'Évangile est précieusement conservée, parfois sous une couche de poussière. Église qui souvent n'a pas su agir, mais qui sait chanter comme nulle autre la joie de Pâques."
P. Lev Gillet ("Un moine de l'Eglise d'Orient)
attends
ils ont rajouté un autre saint
et voici saint Corneille
Son pontificat fut marqué par la querelle de la réintégration des "lapsi", chrétiens qui n'avaient pas eu le courage du martyre et avaient renié leur foi. Saint Corneille, soutenu par saint Cyprien, les acceptait dans la pénitence. Novatien, élu antipape, leur refusait le pardon. Le schisme se répandit en Italie, en Gaule et même en Orient. Saint Cyprien écrivit alors son traité "Sur l'unité de l'Eglise", où il rappelle le rôle fondamental du Siège des apôtres Pierre et Paul d'où procède l'unité des évêques. Le schisme se réduisit sans totalement disparaître quand arriva une nouvelle persécution. Saint Corneille fut arrêté et exilé à Civitavecchia où il mourut.
À demain si vous le voulez bien
BISOUS DE BIQUETTE ET DE REMIDEBOUT
BONNE JOURNEE
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