samedi 14 juillet

Par amtealty jourden
Le 13/07/2012
Dans des nouvelles tous les jours
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Samedi 14 juillet 2012

Sam me dit :

rien de bon pour la météo

nous allons avoir encore un temps hollandais !!!

c'était la blague du jour !!!

ça ne fait même plus rire

je suis sous la dépression(lol)

à chaque fois que notre président sort,

il se fait doucher !!!

ici en Bretagne c'est pas top

y a pas que Martine qui en a marre

les autres aussi!!!

tous les jours c'est pluie, encore pluie ,toujours pluie

et même si il ne pleut que sur les cons

donc jamais sur moi

je commence quand même a en avoir marre

que ma mare se marre

même les crapauds se marrent de moi !!!

ils sortent le soir

ils sortent le matin

et quand je veux aller à ma boite aux lettres

chercher mon journal

ils sont là !!!

et moi comme je ne les aime pas ces bêtes là

grrrrrrrrrrrrr

je suis obligée de faire un grand tour pour ne pas les rencontrer !!!

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mes chats eux aussi en ont marre de ce temps

je les trouve planquer sous la couette

dans ces cas là

les compères roux et mémère la grise

sont copains et copines comme larrons en foire pour envahir mon lit !!!

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parfois pendant une éclaircie Rasta la grise garde l'olivier !!!

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cette photo ne peut pas avoir été prise chez moi

et pourtant j'ai un Avel roux et une rasta grise

mais c'est la Rasta en vraie mégère

qui gère la tribu chats

le commandant de bord c'est elle !!!

sinon il arrive qu'Avel se fasse un petit masque aux concombres !!!

ça désole Tad Coz de voir ses légumes ainsi utilisés

mais bon que ne ferait t-on pas pour le bien être de notre matou !!!!

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JOLIMENT BIEN DIT L'emploi du pronom indéfini...

Il était une fois quatre individus
qu'on appelait
Tout le monde - Quelqu'un - Chacun - et Personne..
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à Tout le monde de le faire.
Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait.
Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.
Quelqu'un se fâcha car c'était le travail de Tout le monde !
Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
Et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait
En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
Parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire.

MORALITÉ
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir
Que Quelqu'un le fera à sa place
Car l'expérience montre que
Là où on attend Quelqu'un,
Généralement on ne trouve Personne!

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ET CECI juste pour sourire un peu

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et pendant qu'il pleut

je ne fais pas que rien

je regarde le tour de France

j'aime voir mon petit guingampais pédaler

allez Cyril !!!!

un des « petits verts » le numéro 24

il est de chez nous

sa tata habite même Squiffiec

je connais personnellement une de ses grand mères

et j'ai eu la chance de serrer la pince de Cyril

cyril gautier, sébastien hinault ,jean et yvonne bourlès, expo plouec du trieux

cyril et sébastien expo de plouec du trieux

vendredi 13

Gautier: "Ça n'a pas voulu sourire"

Il s'en est fallu de peu pour que Cyril Gautier aille chercher une troisième victoire d'étape consécutive pour le Team Europcar. Finalement 4e à Annonay, le compagnon de chambre de Pierre Rolland ne nourrit pas de regrets et entend continuer à passer à l'offensive.

Vous n'avez pas été loin d'aller chercher un troisième succès d'étape en trois jours pour le TEAM EUROPCAR... C.G: J'y ai pensé. Ce matin, au briefing, on m'a donné pour consigne de prendre l'échappée. J'étais content d'y parvenir aujourd'hui et j'espérais pouvoir jouer la gagne. J'éprouve donc un peu de déception au vu du résultat brut mais je sais que j'ai fait le maximum. Ça n'a pas voulu sourire, c'est tout. Comment avez-vous vécu ce final d'étape à cinq ? C.G: C'était très tactique. Nous nous sommes tous beaucoup observés. De mon côté, j'avais décidé de garder la dernière place du groupe dans la dernière montée. Comme nous sortions de deux victoires d'étape consécutives et que les autres équipes représentées dans l'échappée n'avaient quant à elles pas encore gagné, j'ai estimé que ce n'était pas à moi d'assumer le poids de la course. C'était un peu un coup de poker. L'idée, c'était de les laisser faire. Quand Péraud et Millar sont sortis, je n'ai pas pu y aller immédiatement. Après, j'ai essayé d'organiser la poursuite avec les deux autres (ndlr: Kiserlovski et Martinez) mais nous n'avons pas réussi à revenir. Vous avez peut-être manqué de fraicheur sur la fin de l'étape ?

C. G: En fait, je pense que nous étions entamés. L'étape était très longue et les 100 premiers kilomètres ont été courus à bloc mais c'était pareil pour tout le monde. Pour préserver mon énergie, j'ai fait attention à bien manger et à bien boire. Mais, il faisait chaud. J'ai tellement transpiré que mon maillot était tout blanc à l'arrivée. Comment appréhendez-vous maintenant la suite de ce Tour de France ? C. G: Même si nous pourrions nous dire que nous avons réussi notre Tour, nous avons bien l'intention de continuer à aller de l'avant. Nous avons avant tout l'objectif de protéger Pierrot pour lui permettre de faire le meilleur classement possible mais nous aurons encore des libertés pour faire la course devant. Pour ce qui me concerne, je vais déjà essayer de récupérer de cette longue journée qui va laisser des traces avant de retenter le coup dans les Pyrénées.